Certains fournisseurs proposent des cônes escamotables à base de matériaux entièrement recyclés et recyclables. Ils peuvent être munis de poignées spéciales pour le passage de main afin de faciliter l’empilement et une fixation renforcée.
Pour améliorer la fonction « avertissement » d’un cône escamotable, on peut recourir à des modèles de mobilier urbain équipés d’un signal lumineux, plus ou moins puissant en fonction de ses besoins et de son budget.
On peut aussi utiliser les cônes escamotables comme des barrières de protection. Cette fonction est très utile aussi bien pour des raisons de sécurité que pour des aspects purement pratiques (canaliser une foule et bien organiser une file d’attente par exemple).
Pour utiliser cette fonction « barrière », il existe des barres en plastique qui se fixent sur ce petit matériel urbain, très facilement. Ces barres supplémentaires mesurent généralement un mètre (expansible en deux mètres de longueur). Elles ont un diamètre de 30 millimètres et pèsent en moyenne 0.2 kilos.
Les cônes escamotables peuvent être pourvus d’un revêtement anti UV qui leur permet d’être résistants même en cas d’exposition au soleil durant de longues périodes (ce qui est souvent le cas dans le cadre de travaux sur un chantier par exemple).
Il existe aussi des revêtements qui rendent le cône escamotable complètement imperméable. Le plastique industriel dans lequel est fabriqué de ce type de matériel est extrêmement résistant aux aléas climatiques. Il est pensé pour résister aux conditions climatiques les plus extrêmes et les plus difficiles.
Les cônes escamotables peuvent être équipés de skippers rubalise qui permettent de créer des espaces réservés ou de délimiter une zone. Ces embouts que l’on fixe en haut d’un cône escamotable ou d’un piquet sont extrêmement pratiques et sont utilisés à de nombreuses occasions (travaux sur la voirie, secourisme, manifestations culturelles ou sportives, accidents, entretien des routes, interdiction de stationnement…).